La réponse est tout simplement “parce que cela ne marcherait pas.”
Chaque individu qui est capable de penser, peut aussi penser à un niveau moins actif, et finalement transcender toutes les pensées, à condition qu’il utilise la bonne technique et que cela se produise de manière naturelle et sans effort.
Cela requiert un accompagnement strictement personnel. Nous sommes tous différents et devons de ce fait être accompagnés différemment par un professeur de MT bien formé. Toute personne qui bénéficie de l’accompagnement correct peut transcender, dès les tout premiers jours. Ensuite l’expérience se grave dans la mémoire et l’esprit va quasi automatiquement retourner à cet état. De temps en temps, cela demandera encore bien un peu d’accompagnement par un professeur MT pour assurer que le processus reste parfaitement naturel.
Si la MT est pratiquée correctement, cette technique simple peut produire des effets que l’on ne peut s’acheter nulle part au monde (être soi-même, heureux, en bonne santé, intelligent, etc.). Mais pour assurer que cette pratique soit correctement suivie, il est nécessaire de se faire accompagner personnellement, ce qui demande du temps et donc de l’argent. L’organisation de la MT est en outre une association sans but lucratif.
Apprendre la MT, et en dégager un effet à vie, est par ailleurs moins cher qu’un seul jour d’hospitalisation. Mais pour une admission à l’hôpital, c’est la mutuelle qui prend les frais en charge, nous n’en payons qu’une petite partie.
La question à se poser n’est pas pourquoi la MT coûte un certain prix. La question est plutôt pourquoi une méthode éprouvée scientifiquement depuis plus de 40 ans et ayant montré qu’elle pouvait s’attaquer à l’origine de nombreux problèmes, ne soit toujours pas remboursée par l’assurance maladie et les mutuelles complémentaires. Et cela alors que les médicaments qui ne peuvent généralement que soulager les symptômes, entraînant encore dans bien des cas plusieurs effets secondaires indésirables, sont eux, en grande partie, remboursés.
Cela vient-il de l’ignorance de nos politiciens, ou à nouveau du lobby d’une industrie qui veut protéger ses intérêts ?